Réactiver ses clients plutôt que solder ses stocks. Et si la reprise devenait votre meilleur levier d’écoulement ?

En 2024, les marques de mode font face à un paradoxe : elles peinent à écouler leurs collections en saison, tout en étant contraintes d’anticiper de plus en plus tôt leurs prochaines productions. Résultat : les stocks s’accumulent, les taux d’écoulement réels sont inférieurs aux objectifs, et la pression sur les marges est constante.
Mais certaines marques ont compris qu’il ne fallait pas uniquement jouer sur les prix pour vendre.
Elles activent un levier inattendu : leurs anciens clients.
Grâce au service de reprise proposé par Faume, elles transforment des clients déjà équipés en nouveaux acheteurs. Non pas en soldant, mais en valorisant.
Un constat simple : les invendus viennent d’un frein à l’achat, pas d’un manque d’intérêt
Les consommateurs ne sont pas insensibles aux collections.
Ce qui les freine, c’est souvent :
-Une garde-robe pleine,
-Un manque de justification émotionnelle à un nouvel achat,
-Et une forme de "culpabilité d’accumuler".
Proposer un service de reprise intelligent, c’est répondre directement à ces trois objections.
En invitant les clients à revendre leurs anciens articles en échange d’un bon d’achat, la marque crée de l’espace psychologique, physique et financier pour un nouvel achat en première main.
La reprise comme déclencheur d’achat immédiat
Voici comment fonctionne le modèle Faume :
-Le client revend un ou plusieurs articles de la marque (portés mais en bon état).
-Il reçoit un bon d’achat valable sur la nouvelle collection, avec une validité limitée dans le temps.
-Il est redirigé vers l’e-shop, où il peut appliquer son bon et finaliser son nouvel achat.
Ce dispositif est intégré dans l’écosystème de la marque, et piloté de A à Z par Faume (logistique, SAV, contrôle qualité, revente seconde main, etc.).
Résultat : la reprise devient un levier d’activation directe de la nouvelle collection.
Des effets concrets sur l’écoulement des nouveautés
Les marques qui utilisent déjà ce levier constatent une dynamique vertueuse :
-80% utilise leur bon d'achat suivant une reprise, et 95% l'utilise le jour même sur les reprise en boutique.
- 90% utilisent leur bon sur la nouvelle collection. Le niveau de marge du programme de seconde main est en moyenne de 30-50%, soit un niveau de marge supérieur à la vente de produit soldé ou remisé
-Upsell de 65% en moyenne sur le montant du bon d'achat
-Le taux d’écoulement de certaines références en cours de saison augmente significativement, sans réduction de prix.
C’est donc une double victoire :
-Pas de promotion nécessaire pour déclencher la vente.
-Écoulement plus fluide de la collection actuelle.
Une alternative responsable… et rentable aux leviers traditionnels
Contrairement aux promotions ou ventes privées, le bon d’achat émis dans le cadre d’une reprise ne dévalorise pas la collection. Il est :
-Perçu comme une récompense, non comme une remise.
-Justifié par une action engagée (la revente de son ancien article).
-Et porteur de sens, dans une logique de consommation circulaire.
De plus, ce mécanisme ne génère pas de pression interne : Faume prend en charge l’ensemble de l’opération, depuis l’envoi du bon jusqu’au reconditionnement du produit repris.
Conclusion : vendre mieux sans brader, c’est possible grâce à la reprise
La meilleure stratégie anti-invendus n’est pas de brader ce qu’on n’a pas vendu.
C’est de vendre plus de ce qu’on propose déjà, en créant des déclencheurs d’achat adaptés aux attentes actuelles.
Le service de reprise proposé par Faume est précisément cela :
-Un outil d’activation de la demande,
-Un levier de réassurance émotionnelle,
-Et un accélérateur d’écoulement sans perte de valeur.
Dans un marché saturé, la circularité n’est plus une option RSE. C’est un avantage concurrentiel.
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